Lundi 26 août 1 26 /08 /Août 15:23

Mon « idéal-trip » ?

 

Question très délicate en vérité. Car, j’ai eu de superbes aventures sur des plans sur lesquels je n’aurais rien parié. Et j’ai connu de beaux plantages sur des scénarii pourtant préparés aux petits oignons.

 

Rien ne vaut, je crois, la spontanéité de l’instant… chez mon mec : l’envie de se faire du bien de telle ou telle façon… chez moi : le désir de me livrer à fond à mon amant, de lui ouvrir les cuisses, la bouche, les bras et toute l’âme.

 

Bon… nous voilà bien avancé avec ça !

 

Et alors ? Quel est mon trip idéal ?

 

Puisqu’il faut répondre, qu’on me l’ordonne, je m’exécute…

 

Voilà donc un trip qui recoupe plusieurs plans particulièrement chauds et desquels j’ai extrait la substantifique moelle, ce qui, dans chacun d’eux m’avait fait triper.

 

 

 

Un jour, un message sur mon mail :

 

« RDV cet après midi 15 heures précises, 18, rue du Général Tartemuche, sonnette n° 4, tu sonnes quatre fois »

 

Le nom de l’expéditeur ou son pseudo ne m’est pas connu. Mais il faut dire que, lorsque je veux me faire des journées « cul », je laisse des messages ou des annonces un peu partout qui appellent ce genre de « convocation ».

 

L’après midi même, à l’heure dite, je sonne les quatre coups fatidiques à la sonnette n° 4…

 

Une voix froide me répond :

 

« Troisième, gauche en sortant de l’ascenseur. C’est entr’ouvert. Tu entres et tu te fous à poil »

 

Exécution à nouveau.

 

L’appart est reconnaissable à une musique endiablée qui s’en échappe. L’entrée est plongée dans une semi-obscurité. Je pousse la porte et me dessape vite.

 

J’entends alors d’une pièce voisine :

 

«  Amène ton cul, salope »

 

Je m’avance vers la pièce d’où on venait de m’appeler. Là, se tiennent deux mecs, propres sur eux, assis sur de stricts fauteuil style Voltaire.

 

« Sers nous à boire ma cochonne » me lance l’un des deux en me montrant une bouteille de champagne dans son seau à claçons sur le bar.

 

Je leur verse à chacun d’eux une coupe et la leur apporte. L’un comme l’autre, dès qu’ils m’ont à portée de main me la passe direct aux fesses et dans la raie culière.

 

Comme ils se mettent à discuter sans me calculer, je m’approche un peu, histoire d’être à nouveau à portée de leurs mains, et là, sans interrompre leur conversation, ils se remettent à me tripoter les fesses, les cuisses, les jambes, le dos.

 

Leurs coupes achevées, je les sers à nouveau. Puis, à la demande de l’un des deux, je m’agenouille… et bien que cela fût implicite, je fais ma génuflexion devant lui, tendant ma croupe à l’autre mec. Tout doucement, sans aucun ordre, je dégrafe son pantalon, sa ceinture, le fais un peu glisser sur les genoux. Idem avec son caleçon non sans avoir frotté mon visage contre la raideur qui se dessinait sous la fine étoffe. J’ai maintenant ses couilles sous les yeux, surmontées qu’elles sont par une grosse queue bien raide, dressée contre son ventre.

 

Sans me faire prier (c’est moi qui suis à genoux… lol), je commence à le pomper.

 

L’autre, derrière moi se fait plus pressant, d’ayant virilement doigté, il joue maintenant avec sa langue, me bouffant littéralement le cul. Je lui écarte  les fesses autant je peux. Il enfonce sa langue, puis ses doigts, revenant ensuite à sa bouche. J’adore tout autant que la superbe queue que je fais aller et venir au fond de ma gorge dans des râles super excitants.

 

Le mec de derrière se redresse maintenant et d’une claque sur une fesses me fait retourner. Sa queue est bien raide à lui aussi et je l’enfourne dans ma bouche, présentant son intimité à celle que je venais d’astiquer.

 

Variant leurs rôles respectifs en même temps que les positions, ils me prennent ainsi pendant près d’une heure, sur musique forte, dans cette chaude pénombre, me faisant sniffer de temps à autre un peu de Popper’s avant que de venir larguer dans ma bouche à tour de rôle.

 

Voilà.

 

Tout y est à peu près. 

 

Une sorte de trip idéal.

 

Mais ça, c’est vraiment si on me demande mon avis… Or, mon avis précisément, j’aime bien quand mon homme s’en passe et qu’il se sert juste de moi pour prendre son pied. Alors, les Hommes, ne vous laissez pas inhiber ! Contactez moi et soumettez moi à vos désirs, c’est ce qui me laissera les meilleurs souvenirs.

 

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Mercredi 21 août 3 21 /08 /Août 17:17

dominateur



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Mercredi 21 août 3 21 /08 /Août 16:30

 

 

 

 

1984...

 

Souvenir d'une soirée au festival de danse de Confolens.

 

La nuit chaude. Vapeurs de sangria. Une piste de danse improvisée dans un bar de la ville. Musiques hurlantes. Corps en sueur.

 

Ce mec me matait et me frolait en dansant. Didier était fin saoul et discutait dans le bar. Je me déhanchais me collant un peu plus au mec au fur et à mesure qu'il me frolait.

 

Axel Bauer "Cargo de nuit"... Le mec, bras levés, devant moi, muscles saillants mimant le mouvement de manivelles. Beau trentenaire. Moi me déhanchant et le regardant des yeux à la braguette. 

 

Message reçu fort et clair. Signe de tête du mec m'invitant à le suivre. Les toilettes, le long de la piste de danse. Bondées. Moites. Sa main me plapant directement le cul. Mon cul se mouvant sous la pression de sa main.

 

Une cabine qui se libère. Il m'y pousse en me susurant de ne pas fermer. Odeurs. Sueur. Me mets à poil et l'attends assis sur la cuvette des chiottes, la tête sur les genous masquant ma nudité. 

 

Il entre. Me sourit. M'ouvre sa braguette.

 

Mes pieds posés sur ses pieds, mes mains sur sa peau je le suce.

 

             "Ah des gouttes salées
                 Ont déchiré,
                  L'étrange pâleur d'un secret."

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Il me pousse et s'assoit à ma place. Je viens sur lui...

"Toute première fois
Toute toute première fois"

Il me soulève et me repose sans ménagement, jouant de mon corps comme d'un ballon qu'il faisait
rebondir sur son bas ventre tendu.


"Un jeu mêlé de souffrance.
Comme un guerrier
Que l'on blesse.
Se cache dans son rêve.
Se masque de tout son courage.
Sans cesse continue le combat.
Comme la toute première fois.


Sans-titre.JPG

Puis sans crier gare, me met à genou sur le sol crados et me largue son jus au fond de la gorge.

                "Ah des gouttes salées
                Ont déchiré,
                L'étrange pâleur d'un secret."


Lui remontant son pantalon dans un sourire, me claquant les fesses en sortant.

 

Moi pantelant, refermant derrière cet amant pressé. Me refaisant une allure et attendant un peu que

les mecs de la file d'attente oublient que quelqu'un venait de sortir de cette cabine.

 

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Mercredi 21 août 3 21 /08 /Août 15:31

 

 

 

 

Les premiers froids de novembre couvraient la capitale.

 

Petit provincial, arrivé à Paris en septembre, j’avais fais mon entrée en seconde dans un lycée prisé du 5ème. Internat. Peu de temps libre : les mercredis après midi, et les jours de weekend jusqu’à 19 heures.

 

Dépucelé depuis plus de deux ans, j’avais déjà été initié aux « fondamentaux » (c’est ce que mon mec, gaillard du Sud Ouest, disait en parlant de cul comme il parlait de rugby).

 

Un  tantinet paumé donc, qu’il était, le petit provincial… Et aussi un peu en manque, car mis à part un weekend début octobre où Didier (mon homme) était monté à Paris et  où l’on avait passé la plus grande partie du temps dans sa piaule, côté cul, c’était calme plat. Les mecs de l’internat n’étaient pas vraiment en avance et, pour ceux qui « le faisaient »… ils étaient hétéros.

 

Pendant mes moments de liberté, je flânais donc souvent à la recherche d’une queue secourable. Ne connaissant rien aux lieux habituels de drague, je découvrais un Paris pas très disposé envers moi.

 

Enfin, ce fut en ce mois de novembre que je mis les pieds dans ce qui allait être la première marche de mon ascension dans le « ghetto » (comme on disait à l époque).

 

Le samedi précédant, j’avais repéré un bar, dans le quartier Beaubourg, où il ne me semblait n’y avoir que des mecs, et encore, dans un style « cuir » qui me faisait fantasmer quand nous mations des vidéos avec Didier. Je n’avais pas osé entrer car je craignais être refoulé dès lors qu’à moins d’être miro ou aveuglé par une envie frénétique, je ne faisais pas vraiment adulte.

 

Le mercredi suivant, après m’être bien préparé comme mon mec m’avait appris à le faire (jeûne et lavements multiples), vêtu du mieux que je pouvais : jeans et t-shirt sous ma doudoune, je me rendis devant le bar dès le tout début d’après midi.

 

Pas de chance !

 

Une affichette annonçait l’ouverture à partir de la fin de journée… étant donné que j’en avais pour une demi-heure pour remonter au bahut et que je devais y être pour 19 heures pétantes, ma présence allait y être « éclair ».

 

Je dus vraiment paraitre désappointé car un gars aux allures de rien m’aborda en me disant que lui aussi regrettait que ça ne soit pas ouvert plus tôt.

 

Il m’avait rien d’un sex-symbol : une bonne cinquantaine, un peu gras, mais il avait l’air costaud et il me souriait à pleine bouche.

 

Comme je dus simplement esquisser un haussement d’épaules, il entama la conversation… D’abord assez succinctement mais, prenant prétexte du bar, de plus en plus directement. Il m’offrit alors d’aller prendre un verre dans un autre établissement proche qu’il connaissait.

 

Je l’y suivis.

 

C’était à deux pâtés de maison. Un truc discret. Genre pub anglais. Des banquettes en velours assez hautes qui isolaient les tables les unes des autres.

 

Nous nous installâmes dans un coin assez discret. Il s’assit à côté de moi. Cuisse contre cuisse. Son bras sur la banquette au dessus de ma tête.

 

Il m’entreprit tout doucement mais comme il se rendit cite comte que je n’étais pas farouche, cela ne mis pas très longtemps à ce qu’il me demande de le suivre aux toilettes où je ne fis que le pomper car il largua assez vite.

 

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Mais en revenant dans le bar, il ne partit pas comme je pensais qu’il allait faire. Au contraire, nous nous rassîmes et, maintenant qu’il était détendu – et moi aussi – nous parlâmes plus librement.

 

Je lui racontais que j’avais fort envie de trouver des lieux où je pourrai rencontrer des mecs. Il me donna plein de tuyaux… Il me laissa son adresse et son numéro de téléphone. Mais la conversation avait dû l’exciter car il me proposa d’aller au sauna.

 

Bien qu’étant très sûr de ma sexualité dès cette époque, je n’avais pas trop l’habitude d’être affiché comme tel. Pourtant, ce mec ne semblait pas gêné de me passer la main au cul ou de me rouler des palots baveux dans la rue dès qu’il trouvait une porte cochère un peu discrète (mais tout de même peu…). Cette marche vers le sauna était à la fois terriblement excitante et gênante à la fois.

 

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Il paya mon entrée en l’enlaçant de son gros bras viril, puis m’entraina vers le vestiaire en continuant à me tripoter sans la moindre retenue maintenant que nous étions rentrés. Ma jeunesse n’avait pas troublé le taulier mais, dans le vestiaire, je sentais se poser sur moi des regards concupiscents.

 

Dans le hammam, lorsque je me remis à sucer la queue de mon mec, ce n’étaient plus des regards que je sentais mais des mains qui parcouraient mon corps, rapidement, s’orientant vers mes replis intimes, puis poussant leur avantage plus au fond de moi.

 

Lorsque mon mec apprécia que suffisamment de spectateurs/acteurs furent rassemblés (et manifestement intéressés), il m’entraina vers une salle très sombre, très chaude et entièrement couverte de matelas.

 

C’est là que je retrouvai enfin le goût de l’homme après plusieurs semaines d’abstinence.

 

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Je su me montrer très gentil car je repartis de là avec au moins 5 rencards que je devais honorer par la suite.

 

Mon arrivée à Paris était enfin arrosée comme il se devait.

 

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Lundi 12 août 1 12 /08 /Août 17:11

Je trouve toujours très chiant d’avoir à me présenter 15 fois avant un rencard… D’autant que je n’ai jamais un seul fer au feu, si tu vois ce que je veux dire…

 

Aussi est-il assez fastidieux de toujours préciser, encore et toujours les mêmes choses. Et il se trouve toujours un pointilleux pour reposer deux ou trois fois la même question ou un autre qui voudrait me connaitre avant la rencontre aussi bien que si nous avions déjà fait une douzaine de parties de cul ensemble.

 

Alors voilà !

 

Je mets tout à plat !

 

 

 

1 - Physiquement, je suis un BEAR.

 

 

Je suis un mec de 43 ans.

 

 

Ancien pilier de rugby (... donc musclé) mais aussi bien en chair (1,87m pour 100 kg pour ceux qui ont plutôt l’esprit « foire aux bestiaux »)…

 

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Brun, poilu, je porte les cheveux (ce qu’il reste) ras et, parfois, un jour sur trois, une barbe de trois jours…

 

 

Des yeux verts et un air timide (ceci étant dit pour ceux qui ont l’âme romantique… lol).

 

 

Bien monté, je me rase cul et couilles à la demande… sinon, c'est poilu.

 

 

2 – Pour moi, le plus important n’est pas dans le physique…

 

 

Il ne faut certes pas que l'idée de te taper un bear ne te branche pas. Mais à part ça, l'essentiel me concernant est dans mon OUVERTURE A TOUT TRIP.


Mes limites ?

 

Quand je te dis « STOP » c’est que c’est stop, c'est à dire qu'il faut stopper l'action de jeu, respecter un temps mort et reprendre sur de bonnes bases…

 

C’est rare.

 

Mais ça arrive.  

 

 

De manière générale :

- jamais d’uro,

jamais de scato,

et avec mes tétons c’est seulement caresses ou léchouilles

et si ça te plait de me violenter, peu importe pourvu que ça ne laisse pas de trace autre que des rougeurs !

 

 

Jamais de trip avec des jeunes qui ne paraissent pas au moins 20 berges ou alors contrôle d'identité...

 

 Donc quand j’écris « STOP », c'est comme disent les chiennasses de garde : « quand c’est non c’est non »… sauf que, avec moi, le safeword c’est « STOP »… et quand je dis « STOP », ça veut dire NON, ça veut dire, « pas ça », ça veut dire on arrête…

 

 

Je dis ça parce que c’est l’inverse qui est intéressant… quand je ne dis pas « STOP », tu peux me laisser brailler des « non », « pas ça », « arrête »…

 

… quand « je ne dis pas « STOP », et quoi que je dise, c’est que c’est OUI, encore, plus fort, comme tu veux !!! »

 

 

… Et là c’est beaucoup plus intéressant pour toi...

 

 

Tant que je ne dis pas « STOP » … tu fais ce que tu veux !

 

 

… même si dans le feu de l’action je fais mine de refuser, je te donne tous les droits sur moi : me forcer, me contraindre, me claquer, m’attacher, etc. 

 

C'est encore meilleur ! En tous cas pour moi.

 

« Sans restriction » c’est réellement sans autre restriction que celles de la nature : je ne peux pas ouvrir la bouche plus grand que la taille de ma mâchoire, quant à mon cul, il faut savoir forcer sans s’arrêter à mes minauderies… mais des fois une tentative de fist peut vraiment bloquer et là malheureusement « j’veux bien mais j’peux point ».

 

En clair, je n’irai pas pleurer si tu m’as un peu trop forcé la rondelle ou si tu t’es un peu lâché en me corrigeant parce que je te refusais une faveur… ou autres petites erreurs dans le feu de l’action…

 

 

 

 J’aime trop le cul pour minauder. 

 

 

 

*

*  *

 

 

Comment tu veux te servir de ce que je t’offre afin de prendre ton pied.

 

Ce qui fait le sel et l’épice d’une partie de cul, pour moi, c’est le contexte… que toi seul décidera :

 

- une vidéo de cul ou de la musique forte qui tourne en fond sonore (j’adooore !!!)

- une obscurité presque totale ou, au contraire, la présence d’une caméra (voir d’un caméraman) avec des projecteurs (en fait, pour moi, l’idéal, c’est la pénombre),

- un brave et bon vieux plumard ou un canapé ou le tapis du sallon… au, au contraire de tant de classicisme, un lieu glauque et crade (garage, cave, squat, chiottes…) ou simplement inhabituel (grenier, buanderie, cabine de sex-shop, voiture ou camion…),

- un scénario spécial dont tu as toujours rêvé mais que tu n’as pas osé mettre en pratique…

- m’insulter ou, au contraire, ne pas me lâcher un mot (Remarque : dans une partie de cul, on est « cul », on vit « cul », on parle « cul »… je ne trouve rien qui casse l’ambiance que le mec qui vient parler de la pluie, du beau temps, de son boulot ou du mien, ou qui n’arrête pas de commenter la guerre des Gaules…)

- la présence de potes à toi, etc.        

 

  

Mais pour tout cela, pitié !

 

Ne me demande pas mon avis !

 

Impose le moi !

 

Sois le MEC !

 

Celui à qui j’ouvrirai les cuisses… le mâle dominant et dominateur qui me fera mouiller et bander.

 

Quand je dis que je suis ouvert à tout, il faut traduire... cela veut dire : « je suis ouvert à tout ». Il n'y a pas de piège ou de subtilité.

 

Si tu as un doute : demande le… Mais, de grâce : pas une fois que j’aurai la bouche pleine ou tes choses en main… Si ce que je t’écris ici n’est pas assez clair, surtout n’hésite pas à me proposer ce qui te ferait kiffer. La toile et le net  sont là pour ça !

 

Préviens-moi surtout si, dans ton trip, il y a un risque légal(exhib., produits prohibés, etc.) pour le reste : ordonne et n’hésite pas à me surprendre voir à me forcer !

 

 

Ouf ! J’espère que j’ai été très clair…

 

Mon kiff c’est que tu prennes ton pied... c’est tout !

 

 

*

*  *

 

 

Toi

 

 

Ton physique m’indiffère…

 

… totalement !

 

Ce qui me plaira sera indépendant de ton physique : c’est la manière que tu auras de me traiter comme une vraie salope pour me faire passer une rencontre 100% « cul ».

 

Sinon…

 

J’aime que tu me mates comme un salaud, que tu me déshabilles, que tu me dissèques du regard. J’aime les regards vicieux, salaces, excités ou dégoutés, méchants ou violents, pervers… ou froids et indifférents.

 

Si tu veux que je gémisse, que je crie ou que je me taise, il n’y a qu’à demander.

 

Quant à ton odorat, je le respecte. Je suis hyper clean avant un rencard… sauf demande particulière. Encore une fois : « y a qu’à demander »

 

 

                                Ta bouche

 

Elle te servira à commander, à m’ordonner, à m’insulter, à me dire des mots doux ou orduriers

 

Et puis, tu pourras te servir de ta bouche et de ta langue sans la moindre restriction sur tout mon corps.

 

Là, je serai sans limite : j’adore me faire lécher partout (oreilles, visage, pieds, aisselles, seins, couilles et cul… et même ailleurs si tu as de la salive).

 

Tu pourras aussi te servir de tes dents si tu veux (sans laisser de trace !).

 

 

                                  Ton anus

 

Si tu veux me forcer à le lécher, il le faudra bien propre, nickel… Et il faudra que tu insistes… J’aime être forcé à ça (car je n’aime pas trop ça… mais j’adore être forcé)… En revanche, je ne pénètre pas… (mais j’aime bien sucer une queue qui sort d’un cul.)

 

 

 

                                  Tes mains (sans restriction)

 

 

Les mains, c’est comme les queues, je les aime toutes : petites et grosses, glabres et velues, douces ou rugueuses…

 

J’aime que les mains de mon amant « ne restent pas dans ses poches… »

 

J’aime les sentir partout sur mon corps et dans mon corps… J’aime quand elles sont douces mais aussi brutales…

 

J’aime quand elles caressent mais aussi quand elles giflent et fessent, quand elles pressent et forcent…

 

J’aime les sentir me palper, que ce soit à la sauvette, dans la rue ou dans un ascenseur, ou que ce soit, l’air de pas y toucher, sous la table dans un bar, ou que ce soit quand je suis nu, abandonné, et que mon mec m’explore…

 

J’aime chacun de ses doigts, et tous ensemble, main ouverte me pressant les fesses quand il me prend ou poing serré quand il me force… 

 

J’aime, les mains propres (biens lavées au début de la rencontre) mais cochonnes qui vont et viennent dans tous mes orifices, et qui n’hésitent pas à revenir prendre de la salive dans ma bouche après avoir commencé à fouiller mon cul…

 

Bref, j’aimerai tes mains si elles sont libres et vicieuses, fermes et fortes

 

 

 

                                              Tes pieds

 

Il y a des mecs qui kiffent à se les faire lécher ou sucer… Bof ! Mais si ça te fait plaisir… moi ce qui me fera alors kiffer ce sera le côté humiliant pour moi.

 

 

 

 

                                                Tes jambes

 

J’aime les sentir contre les miennes, devant ou derrière. J’aime aussi quand ma tête va et vient ou se retrouve serrée entre tes cuisses.

 

 

                              

 

Ta queue

 

Sans la moindre restriction !!!

 

Tu en fais ce que tu en veux !!!

 

 

*

*  *

 

 

Moi

 

Mes orifices

 

 

                        Mes yeux

 

J’aime voir et regarder…

 

Mais j’aime aussi avoir les yeux bandés. J’aime me trouver à la merci de mon mec…

 

 

                        Mes oreilles

 

Idem.

 

Mais je préfère entendre, même si je ne vois pas… C’est encore plus excitant.

 

J’aime le cul… mais je trouve que dans l'acte sexuel, les bruits des souffles, des halètements, les clapotis des chairs se cognant les unes aux autres, ou les bruits des liquides ou des lubrifiants faisant glisser les corps enlacés, c’est comme les odeurs d’hommes : ce qu'il y a de plus enivrant !

  

J’adore aussi me faire lécher bien profond les oreilles, c’est super bandant… Sentir la bave couler et l’haleine chaude de mon partenaire au plus près de mon oreille (ses halètements s’il est en train de me prendre…)

 

 

                        Mon nez

 

J’adore sentir mon mec… En particulier, j’apprécie énormément quand il ne s’est pas lavé la queue et les boules depuis deux trois jours, que « ça sent fort l’homme »…

  

 

 

                        Ma bouche

  

Ma bouche t’est intégralement offerte (sans restriction)

         

 sperme

 

 

 

Mon petit trou du cul

  

Il est tout à toi, sans AUCUNE restriction

 

 

Ne pas hésiter à forcer…

 

 

J’aime VRAIMENT ça (être contraint, et me faire élargir…).

 

 

Et, dans mon cul, laisse-toi aller et  prend ton pied !!!

 

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       Le reste de mon corps

 

                       

                       Mon dos, mon torse et mon ventre

 

J’adore sentir mon mec peser sur moi, me presser fort contre lui.

 

        

                       Mes mains

 

Elles aiment serrer mon amant contre moi, aller sur son dos, ses fesses, ses cuisses, remonter sur sa nuque quand il me roule une pelle…

 

Elles aiment aussi être serrées, entravées par la pogne ferme de mon mec, voir même attachées ou menottées…

 

Tes mains sont comme ta queue, tout leur est permis sur moi : les miennes sont comme mes orifices : tu en fais ce que tu veux. 

 

 

                         Mes pieds

 

J’aime les avoir autour de la tête de mon mec (avec son ventre claquant sur mes cuisses) : c’est ma position favorite ;-)

  

J’aime toucher mon mec avec mes pieds.

   

 

 

                         Mes jambes

 

 

J’aime les avoir sur les épaules de mon homme pendant qu’il me prend mais aussi contre les siennes quand je suis en levrette… Bref, j’aime aussi qu’elles soient au contact. 

 

 

*

*  *

 

 

 

Et surtout n’oublie pas que si je préfère les hommes, c’est parce que j’aime les Mecs, les Vrais, ceux qui ne s’embarrassent pas du plaisir de l’autre, ceux qui cherchent à prendre leur pied, quelque soit le moyen… moral ou pas…

 

J’aime avoir un Mâle entre les cuisses et dans la bouche.

 

Alors pas d’hésitation !

 

Je peux être à toi le temps d’une après midi ou d’un rencard.

 

Sers-toi de moi !


 

il me la met

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